Aurélien Bory
Le point de départ de Géométrie de caoutchouc, c’est l’espace. Pas une architecture en dur mais un espace mou qui joue avec nos attentes. Les spectateurs prennent place dans un grand chapiteau carré et, en son centre, il y a sa réplique en plus petit qui deviendra sculpture en mouvement. La toile, tirée par des câbles comme une marionnette, s’affaisse, s’élève, supporte et agit sur les corps des acteurs-acrobates. Sommes-nous à l’intérieur ou à l’extérieur ? Dans un cercle ou dans un carré ? Voici un spectacle tout en surprise et en beauté fragile.
Un univers expérimental …
Le mot du Babel :
“La présentation par Aurélien Bory de la maquette de son chapiteau de caoutchouc, avec une verve et une passion enfantines, nous a tout simplement séduites…”
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